One-sentence summary: AirChoice Canada proposes a narrow, codeshare-only exemption in Canada’s Air Transport Agreements so foreign airlines can exceed bilateral caps only when flying to designated Canadian secondary cities. It improves choice and affordability while keeping long-haul traffic and spend in Canada.

Fast facts

  • Scope: Designated secondary cities (initially YOW • YWG • YHZ • YEG). Gateway rights at YYZ/YUL/YVR remain unchanged.
  • Guardrails: Mandatory Canadian codeshare on every exempt flight; initial frequency caps; 3-year review.
  • Rules unchanged: Safety, labour, consumer protection, slot and noise regimes; no cabotage.
  • Why now: Caps concentrate access at big gateways; mid-sized metros face longer, pricier trips and leakage to U.S. hubs.

The ask

We’re asking Transport Canada and Global Affairs Canada to table language for a codeshare-only carve-out at upcoming bilateral rounds and to designate YOW, YWG, YHZ, YEG as initial cities.

Illustrative routes

Examples: YOW–DOH (Doha), YEG–DXB (Dubai), YWG–PTY (Panama City), YHZ–IST (Istanbul) — one-stop access to hundreds of global destinations via mega-hubs.

Quote

“Canadians outside the big three gateways face longer, more expensive trips and often connect through U.S. hubs. A narrow, codeshare-only exemption gives communities fair access to global networks while ensuring Canadian airlines share the revenue and the relationship with travellers.” — Danish Hussain, Founder - AirChoice Canada

Key messages (at a glance)

  • Affordability & time: One-stop journeys reduce total trip time and cost.
  • Keep traffic in Canada: Retains spend, jobs and connectivity in Canadian airports instead of U.S. hubs.
  • Market-based, reversible: No subsidies; time-limited with data-driven review.
  • Canadian participation guaranteed: Codeshare is mandatory on every exempt flight.

FAQ (quick answers)

Does this hurt Canadian airlines? No — the Canadian codeshare is mandatory, ensuring revenue and loyalty participation.

Is this “open skies”? No — it’s a narrow, targeted carve-out limited to designated secondary cities under strict guardrails.

Are safety/consumer standards affected? No — all Canadian rules remain in force; no cabotage.

Too small a market? O&D + leakage and VFR/student flows indicate real demand; hubs aggregate thin markets into viable services.

Backgrounder & data

Assets

Useful links

Spokesperson & contact

Danish Hussain — a Canadian traveler and consumer advocate.

Media: [email protected] · @AirChoiceCanada

Trousse média

Résumé en une phrase : AirChoice Canada propose une dérogation conditionnelle au partage de code dans les accords de transport aérien afin de permettre des services au-delà des plafonds uniquement vers des villes secondaires désignées. Résultat : plus de choix et d’accessibilité, tout en maintenant le trafic long-courrier et les retombées au Canada.

En bref

  • Portée : Villes secondaires désignées (YOW • YWG • YHZ • YEG au départ). Les droits à YYZ/YUL/YVR restent inchangés.
  • Balises : Partage de code canadien obligatoire sur chaque vol; plafonds initiaux de fréquences; examen après 3 ans.
  • Règles inchangées : Sécurité, travail, protection des consommateurs, créneaux et bruit; aucun cabotage.
  • Pourquoi maintenant : Les plafonds concentrent l’accès dans les grandes portes d’entrée; les villes secondaires subissent des trajets plus longs/plus coûteux et une fuite vers des hubs américains.

La demande

Nous demandons à Transports Canada et à Affaires mondiales Canada de déposer un libellé pour une dérogation conditionnelle au partage de code lors des prochains cycles bilatéraux et de désigner YOW, YWG, YHZ, YEG comme premières villes.

Exemples de liaisons

YOW–DOH (Doha), YEG–DXB (Dubaï), YWG–PTY (Panama), YHZ–IST (Istanbul) : accès en une correspondance à des centaines de destinations via des mégahubs.

Citation

« En dehors des trois grandes portes d’entrée, les Canadiens font des voyages plus longs et plus coûteux, souvent via des hubs américains. Une dérogation ciblée et conditionnelle au partage de code assure un accès équitable aux réseaux mondiaux tout en garantissant la participation — et les revenus — des transporteurs canadiens. » — Danish Hussain, fondateur, AirChoice Canada

Messages clés (en un coup d’œil)

  • Abordabilité & temps : Des parcours en une seule correspondance réduisent la durée et le coût totaux du voyage.
  • Trafic maintenu au Canada : Dépenses, emplois et connectivité restent dans les aéroports canadiens plutôt que dans des hubs américains.
  • Axé sur le marché, réversible : Aucune subvention; mesure limitée dans le temps avec examen fondé sur les données.
  • Participation canadienne garantie : Partage de code obligatoire sur chaque vol exempté.

FAQ (réponses rapides)

Est-ce néfaste pour les transporteurs canadiens ? Non — le partage de code canadien est obligatoire, assurant des revenus et la fidélisation.

Est-ce de l’« open skies » ? Non — dérogation ciblée, limitée aux villes secondaires désignées, encadrée par des balises strictes.

Les normes de sécurité/consommation changent-elles ? Non — toutes les règles canadiennes demeurent en vigueur; aucun cabotage.

Marchés trop petits ? La demande O-D + la fuite et les flux VFR/étudiants indiquent une réelle demande; les hubs agrègent des marchés fins pour des services viables.

Contexte & données

Ressources

  • Logo (PNG) : airchoice-logo.png
  • Carte des liaisons (PNG) : route-map.png
  • Couleurs : bleu clair #b0cbf7, texte #000000, rouge de la feuille d’érable #D32F2F.

Liens utiles

Porte-parole & contact

Danish Hussain — voyageur canadien et défenseur des consommateurs.

Médias : [email protected] · @AirChoiceCanada